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îlprmatimtô £itttretins. V. EUGÈNE SUE. LES MYSTÈRES DE PARIS \ i. Depuis quelques années il semble , en France , que le Veau d'or soit le Dieu qui mérite les universels hommages ; les génies les plus élevés se prosternent devant cette idole avec autant d'empressement que les esprits les plus ordi- naires. Sous cette pernicieuse influence la littérature est des- cendue au niveau d'un métier. Elle en est venue à se ven- dre à tant la page, à tant la ligne, et à voir chacun de ses pro- duits tarifé, comme en un prix courant de marchandises, se- lon ses qualités, et selon son plus ou moins de chances de succès. Toutefois, le succès réel n'est pas facile. Il faut pouvoir se placer dans certaines conditions exceptionnelles pour se faire (i) Paris, Gosseliii.