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UN CHAPITRE DE L'HISTOIRE DE LA CONSTRUCTION LYONNAISE BENOIT PONGET ET SA PART DANS LES GRANDS TRAVAUX PUBLICS DE LYON — srjTR jsr FIS 1 — V MAISONS ANDRÉ P É N É L O N ET V I L L A T T E Pour en terminer avec les opérations de la rue Impériale, il ne me reste plus qu'à mentionner en passant les ventes faites par la Société de cette masse importante qui s'étend de la rue Tupin à la rue Ferrandière, du côté de l'orient. Ppncet jugeait cette masse « mauvaise », parce que, sur la plus grande partie, elle est extrêmement profonde. On ne considérait comme bons à bâtir que les terrains tout en façade. L'événement démontra que cette loi n'est pas toujours infaillible. La masse fut aliénée par morceaux successifs. Après avoir vendu les emplacements des trois maisons le plus au sud, qui portent les numéros 43, 41 et 39 et qui furent bâties, savoir le n° 43 par Villatte, et les noa 41 et 39 par Pénélon et Villatte, il restait un quadrilatère extrêmement profond qui fut divisé en six lots, dont trois furent bâtis par Pénélon et Villatte, et trois par les frères » Voir la Revue lyonnaise, t. II, pp. 101, 189, 280, et t. III, p'. 134.