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                            SOCIETES SAVANTES                                  77-
 de Saint-Clair est de 45 mètres cubes par mètre courant, il en résulterait que le,
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 débit d'une galerie construite à la Balme serait de = r X 45 = 60 mètres cubes
 par mètre courant, et 60,000 mètres cubes par kilomètre.
    M. Bertrand, ingénieur- dés arts et manufactures, présenté par MM.-BOUT
 et Storck, et M. Pessot, dessinateur aux Hospices civils, de Lyon, présenté par
 MM. Bour et Gonnard, sont, à l'unanimité, élus membres de la Société.
    La Société procède ensuite au remplacement des membres sortants de son
 bureau qui, pour l'année 1882, se trouve composé comme suit:
    Président: M. Marchegay ;                                           .        _
    Vice-présidents: MM. Jacquand et Boutmy ;
    Seerétaire^général : M. Bour;
    Secrétaires adjoints: MM. Vanderpol et Bertrand,;                          , .
    Trésorier: M. Metzger ;-
    Econome : M. de Pascal ;                                          _ ..
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    Conservateur des machines et collections: M. Meyssin ;                    ,,
   Bibliothécaire : M. Storck;
   Membres du conseil: MM. delà Rochette, Léger, Burelle, de Lachomette.
    La séance est levée à 10 heures.


  SOCIÉTÉ D'ÉCONOMIE POLITIQUE DE LYON. — Séance, du 16 décembre 1881. —
Le 16 décembre à" 8 heures du soir, la Société d'Economie politique de Lyon
s'est réunie dans les salons du café Casati, sous la présidence do M. Rougier, se-
crétaire général.
 ' Notre collaborateur, M. E. Pélagaud, a présenté un intéressant rapport sur
les colonies françaises, particulièrement sur l'île de la Réunion.
   M. Pélagaud, parlant des facultés colonisatrices du peuple français, a démontré
qu'il pouvait rivaliser sans peine avec l'Angleterre; mais il faut que lë'gouver-'
nement modifie la législation politique et économique de la Martinique, de la
Guadeloupe et de la Réunion.
   Ces îles, si profondément françaises, doivent être assimilées purement et sim-
plement à nos départements du continent européen tout oomme la Corse.
   D'un autre côté, il faut supprimer l'octroi de mer, c'est-à-dire affranchir de
tout di-Qit de douane les produits de la métropole qui entrent dans les colonies.
De même la mère-patrie a l'obligation de faire disparaître les tarifs qui frappent
les cafés, les sucres et les autres denrées coloniales tout comme les matières pre-
mières et les produits manufacturés des pays étrangers.
   Le rapport de M. Pélagaud a été vivement applaudi

  SOCIÉTÉ LITTÉRAIRE, HISTORIQUE ET ARCHÉOLOGIQUE DE LYON. — Séance du
7 décembre 1881, — Présidence de M. Beauverie, vice-président. M., le prési-
dent fait part à la Société de la perte récente qu'elle rvient de faire dans la per-
sonne de Mi Berger, membre titulaire, décédé ~\s 27 novembre dernier. Une