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~ 374 ~ Par le secours d'une armée ennemie Il pourra donc, le reste de sa vie, Mettre au grand jour ses titres et ses croix. Mais qui est cette grande dame ? Cette marquise, aujourd'hui surannée, Des jeunes gens du jour abandonnée, Avait trouvé dans l'officier germain Un sigisbé (sic) qui lui donnait la main. Rast- Maupas, sur l'air On doit soixante mille francs, se moque des faux « Zélés » : J'aime le métier de soldat, Mais, s'il faut aller au combat, Attendez-moi sous l'orme, (bis) Le péril est enfin passé ; Allons, tailleur, je suis pressé D'avoir mon uniforme, (bis) Dans les séances qui suivent, les Frères expriment ouvertement leurs vœux pour le retour de Napoléon. Pichard chante, le 6 décembre : Si nos ennemis sanguinaires Devaient, comme on les vit, naguères, Couvrir nos fertiles guérets, Je pleurerois. (bis) Si, fier, s'élançant de son île, Le héros qu'en vain on exile Revenoit chez nous sans débats, Je ne pleurerois pas. (bis) Dans d'autres chansons, mainte allusion, aujourd'hui obscure, a trait aux favoris du nouveau régime ou aux partisans de l'Empereur punis de