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                               « Liberté, Egalité
     « Au citoyen administrateur du directoire du distric de Vienne,

                  « Citoyen,
      « Les mambre du Comité de Surveillance de la Guillotière vous expozes
qu'ils ons étés créé le 18 septembre vieux setil 1793 par les représantants du
peuple et que, depuis cette épocque jusque au quatre vandémière de
l'année troisième de la République, ils ons étés continuellement aucuper
à surveillé les ennemis du peuple, à faire des recherches des biens qui
appartienne à la République, dont il résulte de leurs opérations des décou-
vertes avantageuse pour elle, tampt en argeant monnoits que vesselles
d'argeant assignat et ferts dont le directoire en doit avoir reçu ou recevrat
une douzaine de voiture, des caves murés qui en étoit plaines, ils on aban-
donner leur intérêt particullier pour s'attachez tout antier à celui de la
République. Le Comité étoit compozé en partie de journalliers pèrre de
fammillies qui n'avoit pour leur subsistance que le fruits du travaille de
cette journée, ils donnaire leurs démission, ne pouvants à coze de leur
indijeance tenir cette place qui exijoit une permanance active, vue qu'ils
avoit besoin damployer leurs tamps à procurer du pin à leur familles, les
démissions fure adresser à la commission temporaire qui de ce temps etoit
revêtu des pouvoirs des Représentans du Peuple pour surveillé, dirigé et
organisé le Comité et la municipalité de la Guillotière, vue que la dite
comissions a casser l'ancienne Municipalité pour en créé une nouvelle qui
et existante maintenant, elle prits en considération l'expozé du comité ; elle
n'asepta pas les démission, mais elle prit un arêtté dont extrait et si-join
portant que les mambre du comité de surveillance de la Guillotière retire-
roit la somme de cinq livres pour leur tenir lieux d'indemnité. Sur cette
espoir, les mambre épuisères tous leur crédit et leur petitte avoir, tan par
emprun que autrement, il fire plusieur demandes à la Commission de la
somme par elle promise, elle nous renvoyât par devant vous pour retiré ce
quelle nous avoit promis comme faizant partie du distric de Vienne. Vous
nous accordattes en conformité de la loi trois livres par jour dont nous