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TRES OPTIMA^MAXIMAVÎKTUTIS PnmaDewnVfrtks venerari .amylecûer artes Altéra, tranquillâtertio, vcuefrui ESSAI D'HISTOIRE TOPOGRAPHIQUE DU QUARTIER DE LA GUILLOTIÈRE'" La physionomie de la Guillotière diffère profondément de celle des autres quartiers de Lyon. Dans le « centre », les rues peuvent être tortueuses ou droites, les maisons sont toujours élevées. On dirait que les habitations ont poussé en hauteur, faute de place pour s'étendre en largeur entre le Rhône et la Saône et sur le flanc des collines. A la Guillotière, dès que vous quittez les artères principales, vous êtes frappés de la quantité considérable de maisons à un ou deux étages au plus. Maisons souvent construites en briques ou en pisé, tristes et chétives. Le long des rues principales, au (i) Cette étude est la reproduction d'une conférence faite à la Société des Etudes locales de l'Ensei- gnement public le 8 février 1923. Cette société, sous la direction de M. Kleinclausz, professeur d'histoire à la Faculté des Lettres, a donné depuis deux ans une série de conférences sur l'Histoire des Quartiers de Lyon qui doivent paraître prochainement en volume. Notre étude fait donc partie d'un ensemble. Il en résulte que les limites attribuées à notre quartier sont un peu artificielles au point de vue historique : cours Lafayette au Nord — voie ferrée à l'Est et au Sud — le Rhône à l'Ouest. — Les « Broteaux de la Guillotière » ont été systématiquement écartés, ayant fait l'objet d'une conférence particulière.