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FELIBKiGK 325 Y zai mas pà ô qu'ol y dévale, J'ai seulement peurqu'il y des- cende, dégoûté de notre avoir. Dépita de notre mouyan. Si nous le perdons notre cas Si nous le perdans sera sale; cet hiver sera pire Notre cas sera sale, que celui d'antan. Quel hivia sera pié que fugué quo d'autan. Pa l'arêta faut Fana vère, Pour le retenir il faut l'aller voir, encore que je sois tout laquera qu'é sian toutguéchi, fatigué; sifflez notre chien, je Uffa noté chi, ferai ronfler les pierres. L'Hé- Faré roufFa las paires, rode est fricassé si je l'attends en chemin. Le Rode é fricassa si l'apite en chemi. Hérode enrrage et fé la ligue ; Hérode enrage et fait la ligue; 0 fé semblliant d'y voulé na ; il fait semblant d'y vouloir al- ler; mais ce vieux renard a peur Ma quo vieux rena de quelque brigue; que l'enfant A pâô de quoque brigue ; nuit et jour ne le fasse rêver. Que Fafant neut et jou le fasse évaillouna. Le Rode aur'affaire au Grand-Maître L'Hérode aura à faire au Grand - Maître, qui rangera bien ce bru- Que raingera be quo brutau : tal : il fera pleuvoir du ciel le Para pllieure d'au ciau soufre et le salpêtre sur ce béli • Le soufre et le salpêtre tre qui fait tant le sourd. Se quobelitiâ que fêtant le sourdaud. BlA. ES IEU! C'EST MOI!. A F*' A F**' Tu allais tristement dans ia Anaves tristamen dins la vido en disent : vie en disant : « Point de bou « Ges de félicita pèr iéu subrela terro I heur pour moi sur la terre ! passé plein de douleur, avenir Passa plen. de doulour, aveni sènso espèro, snns espoir, que voulez vous hélas ! que me soit le présent ? De-quo voulès, ai ! las I que siegue lou présent? « Dans mon ciel nuageux pas un à strequi brille I Jamais une Dins moun ceù encbi pas un astre lusènt ! fleur sur mon triste chemin 1 Toujours larmes et deuil !... » Jamai pas uno flour dedins ma draio fèro ! Alors, du haut des deux, Senipre lagremo e dôu !... » Subran, dis auto esfèro, l'amour entrouvre la nue et sourit : . L'amour d'entre li niéu espinchouno e, risènt : — « C'est moi ! je te le dis, c'est moi ! Tu me croyais mort* ma mie ! Voici assez de temps **• «Esiéu î te d'idoles iéu! Mecresiésmort, mamio ! que$ se passant de moi, ton Fa proun tèms qu'inchaient de ieu, toun cor soumiho ! cœur sommeille! Reprends moi; il fait jour encore au crépus* Agach6-me : fai jour encaro au calabrun !...)> cule !...»