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I,A BERNARDA-KUVAND1R) 473 Bernarda élait destinée à l'un de ces théâtres de salon, tel qu'il en existait chez nous au dix-septième siècle. Ce Prologue qui n'a pas même le mérite d'être écrit en patois, de même que la Dédicace qui est d'une pauvrele d'idées déplorable, ne m'ont pas paru dignes de figurer dans la réimpression que la Revue Lyonnaise a bien voulu offrir à tous ceux, qui ont conservé pieusement le culte de nos vieilles choses lyonnaises. E. PHILIPON. \ XOVKMBIE 1884. — T. Vil 30