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330                       LA REVUE LYONNAISE
la représenter à cette solennité. Plusieurs lélibres provençaux ont également
promis d'y assister. Elle sera présidée par M. le comte de Toulouse-Lautrec
félibre majorai et syndic de la maintenance, assisté de M. Henry, de Muret,
à qui on est prié d'adresser les adhésions.                          P. M.



  Nous apprenons que deux pièces provençales ont été envoyées au comité du
bicentenaire de Corneille à Rouen et seront lues pendant les fêtes.



  Nous sommes heureux d'annonçev la prochaine publication des Escandihado,
poèmes français et provençaux de notre collaborateur Aug. Marin et la réunion
en volume des admirables Sirventèsc de Valère Bernard.

                                           *

  Noua publierons dans lo prochain numéro un compte rendu de l'assemblée
aquitaine de Muret, ainsi que des analyses de l'Armana 1885 et des Cacïo de
M. L. Astruc.




                     ERRATA DU DERNIER NUMÉRO

  1° Dans la pièce Flow de Pasco (A. de Gagnaud) de la Revue du 15 août, deux vers ont
été omis à Pavant-dernière stance. La compléter ainsi :

       E mores souto uno lagremo                        « et meurs sous une larme — de
                                                      femme, — toi qui es aux souffrants
                De ferao,                             consolation — et paix, — bien
       Tu qu'i doulénto sies soûlas                   mieux      »
                E pas,
       Bèn mai ta perleto...
  2* Notre éminent collaborateur, M. de Berluc-Pérussis, dont nous avoas par môgarde im-
primé deux fois le sonnet La Rouèlo, nous avise encore d'une faute commise dans la repro-
duction de sa lettre à M. Paul Mariétonsur son livre: Souvenance.
  Page 657, numéro de Juin.
  Au lieu de « 11 en résulte une œuvre satisfaisanta    ».
  Lisez :
  « 11 en résulte une œuvre très saisissante, quelque chose comme un genre inédit, qui
deviendra peut-être la remarquable caractéristique de votre talent. »
   Qu'il reçoive ici nos triples excuses.
  3" Nous prions également Mlle Alex. Brômond, la félibressc Arlésienne, do pardonner à la
Revue les innombrables fautes de texte qui entaillaient ses Pichot mistéri du numéro de
juin dernier, les épreuves n'ayant pas été corrigées.
   Pareilles aventures ne se renouvelleront plus.
                                                               LA RÉDACTION.