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Cittjératurje. LYON PAR NOTRE COMPATRIOTE M. JAL, EN 1835. PASSAGE ET SÉJOUR D'AUGUSTE KOTZEBUE A LYON, EN 1804. Nous empruntons le chapitre suivant à l'ouvrage que vient de publier M. Jal, sous le titre : de Paris a Naples. Il nous intéresse à double titre, et par le nom de son auteur, notre compatriote, et par le sujet qu'il traite. Lyon n'est pas flatté par M. Jal. S'il ne s'honore pas de notre ville, notre ville s'honore de lui. Elle a donné à l'ingrat pour berceau une de ses plus riantes campagnes. M. Jal en a pourtant gardé souvenance, et les lignes qu'il consacre au char- mant village de Fontaines, sont douces à lire, elles partent du cœur. On verra au tableau que fait M. Jal de notre ville, qu'il ne l'aimé pas, ainsi qu'il se plaît à nous le dire ; il lui jette en passant de dures vérités, et nous voudrions, nous, pouvoir les relever une à une, justifier Lyon et le faire aimer d'un auteur que nous aimons. Mais le moyen! SOMMAIRE. Bords de la Saône, — Villefranche. — Fontaine. — L'Homme du Bois. — Lyon. — Foitrvières et son Observatoire. — La Grenouille a l'Échelle. — Le Comédien, marchand d'ex-voto. — les Coliques de cire. C'est une délicieuse chose que les bords de la Saône de- puis Montmerle jusqu'aux approches de Lyon ; les beautés n'en sont pas grandes comme celles des bords du Rhône,