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* POÉSIES DE MATTHIEU ET DE JEHAN DE VAUZELLES LYONNAIS Ces poésies, restées éparses dans quelques ouvrages très-rares de la première moitié du xvie siècle, rappellent plus souvent, il faut le re- connaître, la manière amphigourique de Maurice Scève que la simplicité piquante de Clément Marot. Nous les réunissons parce qu'elles se rap- portent à une époque littéraire que la curiosité moderne ne se lasse point d'étudier ; mais elles ne sont que la moindre partie du bagage de leurs auteurs, qui, voués par profession à d'autres tra- vaux, se distinguèrent surtout comme hommes publics et par l'initiative toujours féconde de leur charité. Le lecteur, pour plus de détails, voudra