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477 cune qui leur reste à combler dans leur publication que le docteur Dupas- quiev, professeur à l'école de la Martinière , dans l'article nécrologique qu'il a consacré à Eynard, donne comme réalisé ce qui ne l'a point encore été. Je ne saurais donc mieux termiuer cetle notice qu'en répétant, sous la forme d'un vœu, ce que M. Dupasquier a avancé comme un fait : « La société Franklin et Monlhyon a élevé un monument à la mémoire des hommes utiles, en publiant une suite de portraits et de biographies de ces bienfaiteurs de l'humanité. Parmi les noms qui se recommandent au souvenir de la postérité par de grandes vertus ou de grands services, figure celui du docteur Eynard. Bien peu d'hommes avaient plus de droits à cet honneur que notre vénérable et savant compatriote. » A.. POT-TON , s. M. ¥.