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296                  LA REVUE      LYONNAISE
Il y en a une trentaine de pages sur ce ton-là. Gomme le proverbe
dit qu'entre l'arbre et l'écorce il ne faut point mettre son doigt, je
laisse aux prises Thomas Sonnet et ses critiques, et remets en
place avec une légitime satisfaction sa très peu récréative satire.
   J'arrête ici cette étude, trop longue déjà peut-être, où j'ai
examiné, aussi rapidement que je l'ai pu, quelques ouvrages sati-
riques qui m'avaient semblé devoir présenter quelque intérêt. Si
je me suis trompé, que ma bonne volonté me mérite au moins le
bénéfice des circonstances atténuantes.


                                       CHARLES L A V E N I R .