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            ôiblio^ap^e iyonnam.


L'ÉGLISE PRIMATIALE DE SAINT-JEAN ET SON CHAPITRE , par M. l'abb<
   JACQUES ; Lyon, Pélagaud , Lesne et Crozet, 4837 , in-8.

    Une noble émulation s'empare de nos écrivains lyonnais ; ils se metteu
 courageusement à la recherche de nos vieilles Charles, étudient nos édifices
 fouillent dans nos annales, et disputent à l'oubli les derniers vestiges di
 passé. Déjà les Cordeliers de Sainl-Bonaventure et Ceux de l'Observance ont e
 leur historien , historien élégant et animé. C'est aujourd'hui le tour dé notr
 grande et belle église de Saint-Jean , et M. l'abbé Jacques succède à M. l'abb
 Pavy. Le volume nouveau , que nous signalons au lecteur, est bien dign
 d'attention. Cet ouvrage n'est point aussi complet qu'on pourrait le désirer
 certaines parties réclamaient de plus amples détails ; il serait facile de si
 gnaler des corrections nombreuses, mais tel quel, le livre de M. Jacque
 n'en est pas moins un livre agréable et instructif. Nous profiterons de ses doi
 nées pour un article sur l'église de Saint-Jean; nous publierons quelque
faits qui ont échappé à l'auteur, e t , dans la série de nos Etudes sur les Histi
riens du Lyonnais , M. l'abbé Jacques trouvera sa place. C'est alors que nou
-entrerons plus avant dans l'appréciation de son livre.



LES OLYMPIQUES DE PINDARE, trad. en français avec le texte grec, pa
  M. PEKRAVJI.T-MAVNANB ; Lyon, imp. Rosary , 1837, în-a.

   Il est   peu de poètes grecs aussi difficiles à traduire que Pïndare. La vei
sion de     M. Perrault-Maynand, version élégante et fidèle, nous parait supe
rieure à    toutes celles qui l'ont devancée. En 1754, un avocat, de Sozzi
qui était   membre de l'Académie ^de Lyon , et dont nous avons publié un