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58 vait librement se caser, se démenait des griffes et des aîles faisait, dans les ondulations, des culbutes sans pareilles. — Aï ! aï ! ven léi querre, lampo ! Je souspiravo. E courne pampo, Que l'auro a tremolis, coume di cabrian, Quand se sent pouncho uno junego, Ansin gémis, sauto e se plego La chatouno di Falabrego.. .. leu pamens i'a voulu. « Aïe! aïe! viens les quérir ! vole ! » lui soupirait-elle. Et, comme le pampre qus le vent fait frissonner, comme une génisse qui se sent piquée par les frelons, ainsi gémit, bondit et se tord l'adolescente des Micocoules Lui pour- tant a volé vers elle. Chantez en défeuillant vos rameaux, chantez, chantez, magnanarelles!. •. « Vous le craignez donc bien le chatouillement? lui dit- il de sa bouche amie. Eh! comme moi, dans les orties, si, nu-pieds, mainte fois il vous fallait vaguer?... Comment feriez-vous ! » — Et pour déposer les oisillons qu'elle a dans son corsage, il lui offre en riant son bonnet de marin. Déjà , Mireille sous l'étoffe que la nichée ren- dait bouffante envoie la main, et, dans la coiffe, une à uxkq, •- ! rapporte les mésanges. „-ÃJ.IOO .monp Déjà le front baissé, pauvrette ! et détourné^uW^geundAïi nu côté, le sourire se mêlait à ses larrn.es i.i&çjrtllabAeiBMtmr à la rosée qui, lo matin, des J^r^nsvm.quiUe>Dl^lcJ(&^i.KyR chettes molles,et roule en perles et s'évapore aux premières clartés ^'t"1""Si'l",!V,!'1totî,"U Quand,sous eux,voilà que là BfâHcn^fôuV'à ^ômp ecîa'tè et se rompt !.. Au d à u ^ ^ n W f à ^ è ^ un cri perçant, se precip-ire, 1 enlace de ses bras, et. du .grand arbre qui se déchire, en unë'Hp'iflèWirWvIMle/'iis tb-moent serres comme deux jumeaux, surMsouple ivraie. .i,.-..j Mi( uu •ibjjî.OitiiïJ au-ifi asi .avili-:* u<>-iJ9 1 «fliih J'À