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vait librement se caser, se démenait des griffes et des aîles
faisait, dans les ondulations, des culbutes sans pareilles.

      — Aï ! aï ! ven léi querre, lampo !
      Je souspiravo. E courne pampo,
  Que l'auro a tremolis, coume di cabrian,
      Quand se sent pouncho uno junego,
      Ansin gémis, sauto e se plego
      La chatouno di Falabrego..     ..

             leu pamens i'a voulu.

   « Aïe! aïe! viens les quérir ! vole ! » lui soupirait-elle.
Et, comme le pampre qus le vent fait frissonner, comme
une génisse qui se sent piquée par les frelons, ainsi gémit,
bondit et se tord l'adolescente des Micocoules         Lui pour-
tant a volé vers elle. Chantez en défeuillant vos rameaux,
chantez, chantez, magnanarelles!. •.
   « Vous le craignez donc bien le chatouillement? lui dit-
il de sa bouche amie. Eh! comme moi, dans les orties, si,
nu-pieds, mainte fois il vous fallait vaguer?...
   Comment feriez-vous ! » — Et pour déposer les oisillons
qu'elle a dans son corsage, il lui offre en riant son bonnet
de marin. Déjà, Mireille sous l'étoffe que la nichée ren-
dait bouffante envoie la main, et, dans la coiffe, une à uxkq, •-
                                                                !
 rapporte les mésanges.                                 „-ÃJ.IOO .monp
   Déjà le front baissé, pauvrette ! et détourné^uW^geundAïi nu
côté, le sourire se mêlait à ses larrn.es i.i&çjrtllabAeiBMtmr
à la rosée qui, lo matin, des J^r^nsvm.quiUe>Dl^lcJ(&^i.KyR
chettes molles,et roule en perles et s'évapore aux premières
clartés                         ^'t"1""Si'l",!V,!'1totî,"U
   Quand,sous eux,voilà que là BfâHcn^fôuV'à^ômp ecîa'tè et
se rompt !.. Au d à u ^ ^ n W f à ^ è ^
un cri perçant, se precip-ire, 1 enlace de ses bras, et. du .grand
arbre qui se déchire, en unë'Hp'iflèWirWvIMle/'iis tb-moent
serres comme deux jumeaux, surMsouple ivraie.
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