Revue du Lyonnais » série 1 - n°14 ( 1841 ) » pp.422

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  Ce fragment d'inscription, qui sans doute n'existe plus, est tout àfait
insignifiant. Ce qu'on pourrait y voir de plus séduisant, c'est le nom
célèbre que portèrent les deux Catons, lequel ferait perdre la tête à
certains antiquaires qui ne l'ont pas très bonne ; mais si ce n'était
que la fin d'un mot aussi commun que le serait, par exemple, Å“difi-
CATO ? Au reste, je ne l'ai rapporté que dans la vue de ne rien ôter
au bagage antique, si peu considérable, de la ville d'Anse.