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           A MADAME J. B.,

EN   RÉPONSE   A DES    VERS    QU'EÃJLE     M'AVAIT       ADRESSÉS,




                       u N'esWîî plus dans nos champs lïe fleur qui te sourie! »




        Tu m'as dit : « Pourquoi de ta lyre
        Les doux accords ont-ils cessé ?
        Pourquoi n'oses-tu plus sourire ?
        Pourquoi ton cœur est-il blessé ?
        L'aurore suit une autre aurore ;
        A la fleur que l'été dévore
        Une autre succède à son tour;
        Tout cède au temps, l'astre qui brille,
        Le chêne altier, l'humble charmille,
        Aussi les peines de l'amour. »
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