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CHRONIQUE LOCALE. Le mois d'août se résume par un mot magique : les Vacances! Dès la lin de juillet, bien des gens, grands cl pcl.ts, n'en dm ment plus. L'heure sonne à la fin Quel inslnnt que celui où on retrouve sa libcité, surtout si, en partant, on s'enfuit couronné ! Après tout, si on ne l'est pas, c'e^t la mémo chose. Les magistrats, les avocats, les avoués, les professeurs qui, eux, n'ont reçu aucune récompense-, s'envolent avec 1.11 empressement sans égal. Les médecins, les architectes, les agents de change, les négociants, les employés d'admini-diation, les commis de tout genre, qui, probablement, n'ont pas besoin de repos, se trouvent seuls, abandonnés dans les rues dé-erles et brûlantes de la