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DE L'AUMONE GENERALE 339 Ce n'était que le début, il fallait pourvoir aux jours sui- vants : — Dès le lendemain matin, répartis par quartiers, tous les pauvres recevaient l'aumône quotidienne : « Assavoir de pain pour chacun une livre et demye, un potaige et une petite pièce de chair. Et quelque peu de vin aux estrangiers « Et ainsi fut fait tous les jours, depuis le vendredy dix- neuvième de may quinze cent trente et un, jusques au dimanche qui estoit le neuvième jour de juillet ensuyvant, qui font 52 jours entiers (10). » E. RICHARD. {A suivre.) (10) Archives de la Charité, E, 86.