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aie BIBLIOGRAPHIE. ( Je ne crois pas, ben sûr, à tous ces contes là . Je parle le français que mon ancien parla ; Vernu, de même aussi, tant que j'aurai de vie Je dirai mon Pater d'après la liturgie ' (J'ai retenu le mot) que nos anciens suivaient Et que nos vieux curés alors nous apprenaient. Eux que sont des malins, je conçois ben qu'ils changent, Aujourd'hui pour demain, d'avis sur le missel, Qu'ils démolissent tout leur ancien rituel, Mais moi que ne connais goutte aux mathématiques, Je garde ma prière et mes vieilles rubriques. 1! faudrait ajouter le texte de la lettre adressée au Souve- rain-Pontife par les curés de Lyon, au mois de janvier et ce- lui de la "réponse du Sainl-Père, laquelle est arrivée à Lyon, il y a quelques jours; jusqu'à présent ces deux pièces nous sont inconnues. L . MORF.L UE VOIJUNE.