page suivante »
82 POÉSIE. Au bord du torrent qui s'élance, Comme elles savent bien cacher Leur pauvre nid, douce espérance, Dans quelque fente du rocher ! Laissez aux champs les bergerettes, Gais oisillons ; Elles mourraient dans vos prisons coquettes, Il leur faut le soleil, l'air libre et les sillons. DES ESSAETS.