Revue du Lyonnais » série 2 - n°21 ( 1860 ) » pp.388

388                  MATTHIEU BONAFOUS.

   Villermé, de l'Institut, un des écrivains les plus distingués
      en économie politique.
   Les médecins Rayer et Civiale, de l'Institut.
   Matthieu de Dombasle,,agronome français.
  L'avocat Berlin, son plus intime ami d'enfance, que son
      père avait accueilli en qualité de réfugié, 'a Turin, lors *
      de la grande révolution de 1789.
  Fée, autre ami intime, professeur de botanique et auteur
      de différents ouvrages.
  Duport Saint-Clair, ex-président de la Société d'agricul-
      ture de Lyon.
   Antoine Péricaud l'ainé, membre de l'Académie de Lyon,
      correspondant de celle de Turin, par laquelle, sur la pré-
      sentation de Matthieu Bonafous, il fut élu, en 1834, à
      l'unanimité des suffrages ; président actuel de la So-
      ciété littéraire de Lyon.
  Le docteur Théodore Perrin, ancien président de la So-
      ciété de médecine de Lyon, membre de l'Académie.
  Léon Cailhava, bibliophile lyonnais.
  Tous les professeurs du Jardin des plantes à Paris : no-
tamment MM. Duvernay et Decaisne , avec lesquels il pré-
parait son magnifiqne ouvrage sur l'histoire naturelle du Riz,
qu'il devait publier en 1853.
   En femmes auteurs:
  Mesdames : Agathe Baudouin, de Montgolfier, fille du célè-
bre aéronaute : AmableTastu, auteurde charmantes poésies.
 A Turin.
MM. Cibrario, historien distingué, ex-ministre des finances.
 Conti, professeur de chimie.
 Moris Sénateur, professeur de botanique.
 Biroli, Colla.
 L'abbé Baruffi, voyageur intrépide, professeur de philo-
    sophie a l'Université.