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                  VERS LA FIN DU XVe SIECLE                        227

 ideo religenliir dicti libi i et reparenlur dicta edifficia propicius
fieri polesl.
    Le prieuré de Saint-Nizier-Lestra était sous la protection
 du prieur de Charlieu depuis 1428 (1). De sept religieux
 qui s'y trouvaient habituellement, il n'y avait plus que le
 sacristain.
    Au prieuré d'Arnas il y a une lougue série de réparations
 insignifiantes. A Denicé, les visiteurs ne purent entrer dans
 le prieuré qui était fermé : ac lamen relaciom vicariorum
 dicta doutas est bine edifficala et manulenia.
    Il y a une paroisse dont l'emplacement n'a pas été
 retrouvé et qu'Auguste Bernard indique dans le Cartu-
 laire de Savigny sous le nom de Délia Sargina (2). Elle
 devait être près d'Anse. Serait-ce Billy ? Il y a deux
 hameaux de ce nom dans la plaine de l'Azergues entre
 Quincieux et Anse. La carte de Cassini les cite avec
 la mention de brûlé; entre deux est le hameau de la
 Chapelle.
     A Chazay-d'Azergues : Deindefuit visitalus prioralus loci
 ejudem presencia vicarii prions. Reparenlur vitrine. Paviatur
 navis ecclesie. Fiat vitrina in cappella Sti Martini que perlinet
 curalo dicti loci... Suml ibidem multe res alie indigentes répara-
 lione que dimmitnnlur discretionem domini Theodori Teralii
 abbatis moderni Alhanatensis (3) et prions ipsius loci.
    A Dorieux, nous relevons la mention suivante à la fin de
  la visite du prieuré et de l'église qualifiée de paroissiale :
 Hichilsolveru.nl quia nisi très parrochiani sunl pauperes.
     A Chambœuf près de Saint Galmier, le prieuré dépendant

   (1) Voir Gallia Christiana.
   (2) Dans manuscrit de cette visite on ne peut lire que Bella-Saigina.
   (3) Cet abbé d'Ainay était l'oncle-du chevalier Bayard.