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MATTHIEU BONAFOUS. 137 delà récolte mais par un judicieux emploi de la greffe,propager des variétés tardives et s'assurer qu'on offrira toujours aux vers à soie une nourriture plus homogène. — Enfin, il fait observer que le sol, le climat et les variétés dont on peut disposer , doivent exercer une grande influence sur la détermination du choix a faire entre le mûrier sauvage et le mûrier greffé. L'Académie des sciences de Paris ayant chargé deux de ses membres MM. Huzard et De Sylvestre, de lui faire un rapport sur cet ouvrage, décida, dans sa séance du 16 mars 1829, qu'elle devait remercier Matthieu Bonafous et elle l'en- gagea à continuer ses intéressantes recherches. La même année, parut sa notice biographique sur M. Martinet, insérée dans les Mémoires delà Société centrale d'agriculture de Paris. Jules FOREST. La suite au prochain numéro.