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175 l'apologie de la commission militaire établie dans cette commune. 1824. 2 4 . Mort, à L y o n , d'Etienne P o n c h e r , garde des sceaux de F r a n c e . — II fut inhumé dans la cathédrale de Saint-Jean. Voyez L'HIST. DE TOCRRAINE, par Chalmel, I I , 5 9 5 . 1589. » Les Lyonnais se déclarent d u parti de l'Union. Voyez ci-dessus a u 7 février. 1711. » Débordement d u Rhône et de la Saône qui se joignent sur la place d e Bellecour. — Nous avons inséré le procès-verbal d e cette inonda- tion dans le premier numéro de notre REVUE. Voyez sur les débor- demens du Rhône et de la Saône les TABLETTES HIST. ET LITT. de M. Chambet, t o m . I , pag. 2 5 7 et suiv. ; L'INDICATEUR DE LYON, édition de 1 8 1 0 , page 6 5 ; le premier MÉMOIRE de M. Guerre , pour plusieurs habitans et propriétaires de la Guillotière , Lyon, 1 8 2 2 , i n - 4 ° ; et les NOUVELLES ARCHIVES DU RHÔNE, tom. I , pag. 20 et suiv, 1794. » Mort de Catherin-François Boulard, architecte distingué, auteur d e plusieurs Mémoires relatifs à sa profession. 1745. > Arrêt du Conseil d'état, relatif aux nouveaux statuts et réglemens > pour la fabrique de Lyon. 1805. 2 6 . Le gouvernement accorde des secours pour la reconstruction d e s façades des maisons de la place de Bellecour, démolies en 1 7 9 3 et 1794. 1793. » Les jacobins font'emprisonner comme modéré et contre-révolution- naire le docteur Gilibert que les Lyonnais se disposaient à nommer maire. 1545. 2 7 . L e Consulat ordonne de fermer, jusqu'à nouvel o r d r e , le Collège d e la Trinité aux MARTINETS qui vont et reviennent dans ce collège, etc. — On donnait alors le nom de MARTINETS aux externes. Voyez ce mot dans LE GLOSSAIRE de Du Cange. 1819. » Lettres-patentes d u roi qui autorisent la ville de Lyon à ajouter à ses armoiries UNE ÉPÉE HAUTE D'ARGENT DANS LA PÂTE DEXTRE DU LION. Voyez ARCHIVES DU RHÔNE, t o m . V I I , pag. 3 3 9 , et le SIÈGE DE LYON, par M. F . Coignet, pag. 6 3 . L'enregistrement de ces lettres- patentes à la Cour royale de Lyon fut retardé par diverses circons- tances , et n'eut lieu que le 19 août 1 8 2 0 , dans u n e audience solennelle où le procureur-général, M. de Courvoisier, prononça le discours suivant : « Messieurs, le roi décerne à cette ville une flatteuse r é c o m p e n s e ; elle porte un LION dans ses a r m e s , c'est l'emblème de la force, de la générosité e t d u courage ; elle y joindra désormais une ÉPÉE en mémoire de ce siège fameux où la fidélité des Lyonnais fut chargée de tant de m a l h e u r s , après tant