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  O MES ILLUSIONS!

                         fw*«C;




W.„„,
      ' mes illusions, mes vierges au teint rose,
Au front insouciant où le calme repose,
Aux yeux purs que des pleurs n'ont jamais obscurcis,
Vous qui me conduisiez vers l'avenir immense
En me chantant chacune une douce romance ,
     En me faisant de doux récits ;

Vous vous en allez donc, et l'heure est donc venue
De me quitter aussi, jeune troupe ingénue ?
Hélas ! je suis à peine au quart de mon chemin ,
Et vous m'abandonnez tout seul et sans défense ;
Vous m'emportez mon prisme et mes songes d'enfa„i_e
     Je n'aurai plus rien pour demain !


Oh! puisque vous partez sans vouloir plus attendre,
Et qu'à vous retrouver je ne dois pas prétendre,
Puisqu'il est éternel, votre départ si prompt,