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b l e , ces méthodes perfectionnées q u i , dans l'enseignement élé-
mentaire, doivent un jour détrôner la routine.
A peine ces écoles étaient-elles en activité, que l'on songea Ã
étendre le bienfait de l'instruction aux adultes, en créant pour
eux une classe du soir, et à propager la méthode mutuelle, en
fondant un cours normal pour les instituteurs.
On avait ainsi complété tout ce que pouvait demander l'ins-
truction élémentaire ; écoles d'enfans, écoles d'adultes, cours pour
les professeurs, on avait tout embrassé.
( Extrait d'un compte rendu de M. Gastine , secrétaire de la société. )