Pour une meilleure navigation sur le site, activez javascript.
page suivante »
                                              170
                 délier, lequel enquis d e ce qu'il en avait fait, répondit qu'on n e
                 l'avait pas commis à garder son c o r p s , mais au salut de son âme.
               . GAZETTE DE FRANCE, page 7 1 . Voyez aussi la notice de M. P . SUR A.
                 L . DU PLESSIS DE RICHELIEU, ARCHEVÊQUE DE LYON. Cet événement y a

                 été placé par erreur à une autre date.
1729.    > Mort de Jean T r u c h e t , surnommé le P . S é b a s t i e n , c a r m e ,
         >                                                                                 célèbre
                 mécanicien , né à Lyon en 165S. Pour louer son caractère et ses
                 ouvrages, on disait communément qu'il était aussi simple que ses
                 machines. COLONIA, HIST.LITT. , H , 8 2 2 , . P E R S E T T I , H , 2 3 2 .

1810.    » Une députation composée de MM. Fay de Sathonay, maire de Lyon ,
                  Saint-Rousset, premier adjoint, Morand de Jouffrey et Àrthaud de
                  la F e r r i è r e , membres du Conseil-municipal, présente à Napoléon le
                 vœu des Lyonnais pour l'érection d'une statue en bronze d e S. M.
                 sur la place de Rellecour. « J ' a p p r o u v e , répond l'empereur, la
                 délibération d u Conseil-municipal. Je verrai avec plaisir ma statue
                  au milieu d e ma bonne ville de Lyon; mais j e désire qu'avant de
                 travailler à ce monument vous ayez fait disparaître toutes ces
                  ruines, suites de nos malheureuses guerres civiles : j'apprends
                  que déjà la place de Bellecour est rétablie : ne commencez le
                 piédestal que lorsque tout sera entièrement achevé. » MONITEUR d u
                  6 février.
1790.    6. Un décret de l'assemblée nationale réunit à la ville de Lyon le fau-
                  bourg de la Guillotière et ses dépendances. Voyez un autre décret
                  du 15 février 1 7 9 1 .
1793.    »    Chalier fait convoquer au son d'une cloche qui fut promenée dans
                  toutes les rues de Lyon , une assemblée générale du club central ;
                  ses projets sanguinaires sont déjoués par le m a i r e , M. Niviëre-Chol
                  qui,   dans cette journée , fut proclamé LE SAUVEUR DE LYON. BIOCR.
                  UNIV., art. CHALIER; HIST. DE LA RÉVOLUTION DE LYON, par J. G u e r r e ,

                  page 2 8 .
1594.     7. Les Lyonnais se soulèvent contre les ligueurs, aux cris de VIVE LA
                  LIBERTÉ FRANÇAISE , A BAS LA TYRANME ITALIENNE. Les armoiries d'Espa-
                  gne et de Savoie sont brûlées avec celles du duc de Nemours qui
                  est arrêté et emprisonné. Toute la ville se réduit sous l'obéissance
                  d'Henri IV. — (Voyez plus bas au 2 4 ) . HIST. UNIV. de J. A. d e Thou,
                  liv. CVIIÃ; JOURXAL DE L'ETOILE , e t c .

1730.    » Le Consulatfait une fondation annuelle de 6,000 livres pour le soutien
                  des spectacles de Lyon.
 1790.    » Emeute populaire, scènes sanglantes; pillage de l'Arsenal par les soi-
                  disant PATRIOTES. Voyez sur cet événement I'HISTOTRË DE LA RÉVOLU-
                  TION DE 1 7 8 9 , p a r Kerverseau et Clavelin , tom. V , page 1 6 7 .