Pour une meilleure navigation sur le site, activez javascript.
page suivante »
           ANNE DE GEIERSTEIN.

     Vole à l'entour de nos coursiers,
                   (Reprenant).
    Bourgogne ! A moi tes cavaliers.
    Qu'a-t-on fait de ma belle armée ?
    Us m'ont quitté. Comme ! Oxford !
    Morat ! Mofat ! le duc est mort.

                      SCÈNE II.

            Les Précédents, OXFORD.
                    CRÈVECOEUR.
  En le voyant mon âme est alarmée,
  11 vous appelle et vous nomme tout bas.
                      OXFORD.
    Altesse \
                     CRÉVECOEDR.
                Il ne vous entend pas.
                       OXFORD.
     Aux plus grands jours de ta puissance
Je n'ai jamais fléchi le genou devant toi.
            (Se mettant à genoux).
    0 mon prince ! répondez-moi ?
  Qu'exigez-vous de mon obéissance?
                        TOUS.
  Rien '. toujours rien ; Son esprit abattu
N'a pas pu supporter la perte de sa gloire.
                       OXFORD.

    A son génie, à sa mémoire
    Puissé-je rendre leur vertu !
               {Aux Chevaliers).
       Adieu donc, mes amis !