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352 Ils n'emportent ni pleurs, ni regrets sur leurs ailes, Bans le même linceul ils sont ensevelis. Oh ! n'est-ce point assez de deuil et de torture ? Dois-je avancer toujours dans cette nuit obscure, Heurtant; à chaque pas, un cadavre sanglant ? Oui, poursuis toit chemiii... elle attend, cette terre, Le signe vénéré du céleste mystère, t a main doit le porter sur le temple fumant. Je marche !... sans tourner mon regard en arrière, Sans secouer aux vents mes pieds lourds de poussière, Sans compter tous ces morts endormis à la fois. Je franchis d*un seul bond ce sentier difficile, Et sur ces noirs débris, restes d'un saint asile, Mon bras, que Dieu soutient* vient arborer la croix ! t^b/rA-eù a l £wu