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   COURS DE MM. REYNAUD, FRANÇOIS, DEMONS,
                 BOUILL1ER ET OZANAM.


   M. Reynaud, doyen de la Faculté des Lettres, a repris, il y a
peu de temps, ses intéressantes leçons sur la littérature fran-
çaise, leçons que des circonstances malheureuses avaient inter-
rompu. Dans son cours de l'an dernier, M. Reynaud a déve-
loppé avec talent ses notions du beau qui sont le fondement
de toute littérature; il en a poursuivi quelques applications
dans le drame, le sujet principal des études de cette année, et
qu'il doit aborder incessamment, soit chez les nations immo-
biles de l'Orient, soit chez les peuples du mobile occident.
Un des collaborateurs de la Revue a déjà caractérisé ce qu'il
y a de plus remarquable dans les leçons de M. Reynaud;
nous ajouterons que, cette année, M. Reynaud nous semble
encore supérieur ; il ne lit plus ses leçons ; elles ont lieu
deux fois par semaine, et l'on peut mieux suivre leur enchaî-
nement.
   M. Reynaud est un homme de foi et de conviction , aussi
respectable par son caractère que par son talent, un homme
 de progrès et de dévouement. Il s'adresse à tous ceux qui