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                                      VI.

                                D.          M.           S.
               I V L I A E             S A T V R N I A E
                       A N N.         X X X X V.
           VXORI.               I N C O M P A R A B I L I
               MEDICAE.                      O P T I M A E
        MVLIERI.                     S A N C T I S S I M A E
             CASSIVS.                    P H I L I P P V S
        M A R I T U S.           O B         ME R I T I S        (sic)
                H.   S.    E.    S.    T.     T.    L.        (1).

                                      VII.

                                D.           M.
                          TERENTIAE
             NICENI.                  TERENTIAE
           P R I M A E S.             M E D I C A S.          LI
           BERTAE.                   FECERVNT
         M V S S I V S.               ANTIOCHVS
         ET.         M V S S I A.            D I O N Y S I A.
                  F I L.         M.     B.         M.                (2).

   Ces monuments et bien d'autres encore servent, comme on le voit,
à constater ce fait général, que, chez les Romains, il exista une classe
do femmes assez nombreuses qui exerçaient l'art de guérir, et qui
portaient ostensiblement un titre indiquant cette profession, celui de
MEDICA. En cela, le grand peuple se montrait, sinon plus sage, du
moins plus tolérant que ne l'avaient été les Athéniens à l'époque
réelle ou fabuleuse d'Agnodice , et que ne le sont encore les législa


  (1) Maffei, Nus. Veron., p. CCCCXXV. 5.
  (2) Fabretli, Inscript. domest., p. 497. 7.