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LA JEUNE GRECQUE^
i.
Lorsque par la hache tranchante
Le bûcheron d'un bras nerveux
Abbat les chênes orgueilleux ;
La collombe échappe tremblante
À ce rivage, et sous les cieux
On la voit quelque temps errante.
Ainsi fuyant un bras vainqueur ,
Zélime errait à l'aventure ;
Les boucles de sa chevelure
(4) Ce petit poème élégiaque remonte à une époque un peu éloignée déjà .
L'auteur, qui est un ami de M. Reboul, de Nîmes, nous promet d'autres piè-
ces que la Revue sera heureuse d'accueillir.
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