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                              tyoé&it.




                    U CHUTE DE L'ANGE w .

                           Pour moi, soit que ton nom ressuscite ou succombe,
                           O Dieu de m o n berceau, soit le Dieu de ma tombe '
                           Plus la nuit est obscure, et plus mes faibles yeux
                          S'attachent au flambeau q u i pâlit dans les c î e u r ;
                           E t quand l'autel brisé que la foule abandonne
                           S'écroulerait sur m o i ! . , , temple que je chéris,
                           Temple où j'ai tout reçu, temple où j'ai tout appris,
                           J'embrasserais encor ta dernière colonne,
                          Dussé-jc être écrasé sous tes sacrés débris !

                                       AL» D E L A M A R T I N E . —   (HARMONIES.) —

                             C'est u n astre égaré qui conserve, malgré ses ombres,
                           un rayon de sa gloire primitive; U s'agite pour rallumer
                           ses feux.
                                                              SlLVIO PETAICO •—



                                        L

        Tout un peuple écoutait, car une voix divine
        Avait jeté dans l'air un chant mélodieux;

   (1) Cette pièce est le début d'une jeune personne de notre ville. L'opinion
générale sur la fâcheuse iransformalion poélique de M* de Lamartine y est
exprimée avec-justesse et sentiment.