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Si les forts ouvriers en sculptent les colonnes,
Les enfants les plus beaux tresseront des couronnes !
 Ne faut-il pas des voix pour bénir, pour chanter?
Ce n'est pas être oisif que de vous écouter,
De recevoir de vous chaque soir l'huile sainte,
Lampe qui luit dans l'ombre et n'est jamais éteinte !



%l)n ! quand les marteaux lourds se reposent, le soir,
Les hommes ont besoin de lyre et d'encensoir;
C'est l'immense désir de toute créature
De chercher vos rayons épars dans la nature,
Et c'est une vertu de lire avec clarté
Un peu de votre nom écrit dans la beauté ;
D'avoir le front marqué de votre sceau de flamme,
Et, mêlant des parfums aux musiques de Famé
D'être l'urne de baume et le luth frémissant
Qui parfume la terre et chante en se brisant !


ÎL'APÔTRE    fut long-temps perdu dans sa prière,
Et Jésus le cherchait et l'appelait : Mon frère !
Et Jean se releva, plus fort et plus charmé;
Il avait entendu la voix du bien-aimé.


    », si vous demandez, quel était l'homme austère
Qui défendait aux fleurs de parfumer la terre,
Et sur l'humble faiblesse ainsi prompt à tonner,
Refusait à Jésus le droit de pardonner ;