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LES DE 274 GRÛLLIEK avant la Révolution, lui parlait souvent et avec bonheur de ses anciens maîtres, durant les longues veillées d'hiver, au coin du foyer. Le marquis, sous des dehors un peu rudes, avait un cœur bon et généreux. La marquise, vraie grande dame par le talent et l'esprit, brillait dans les belles fêtes d'alors, à Versailles et à Trianon : « Ils sont partis, disait-elle, mais ils étaient de bons « seigneurs ! » , Voilà bien leur plus bel et leur meilleur éloge. E. CUAZ