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       LE TRIOMPHE DU BOSTON

Mais les étrangers sont vainqueurs,
Wist se cache chez la dévote,
L'homme de Brou dans les faubourgs
Et Reversi fait sa retraite
Chez des sots, qui passoient les jours
A pester et faire la bête.



Sans peine on se croit dispensé
Des soins de la reconnaissance,
Envers les princes malheureux.
Reversi, disoit la coquette,
Etoit d'un despotisme affreux;
On ne pouvait tourner la tête,
Écouter la moindre douceur,
Sans recevoir un as de pique,
Et le vilain valet de cœur,
Et Vas de carreau diabolique.

Et ce maudit homme de Brou !
Disoient, filles d'un certain âge,
Puisse-t-on lui tordre le cou.
Ce grand faiseur de mariages,
J'ai passé plus que mon printemps
A cultiver le partenaire,
J'ai perdu mon argent, mon temps
 Et je mourai célibataire.




« Hélas, ce siècle est bien petit,
Disent chaque jour nos grands pères,