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                         NÉCROLOGIE                        20?

ci, depuis qu'il, les a indiqués, ont été mieux étudiés et ont,
de la série vague dite terrains de transition, pris place dans
le groupe des calcaires-carbonifères qui fait partie de cette
série.
   Dans deux autres notes, M. Leymerie parle encore de
la région lyonnaise ; d'abord « des grès inférieurs du lias et
du soulèvement du terrain secondaire du département du
Rhône. » Dans cette étude, l'auteur reprend une question
déjà traitée en 1836, à propos du soulèvement des terrains
qui sont compris entre Lyon et Mâcon. La seconde note
donne une coupe du Mont-d'Or lyonnais, c'est-à-dire de la
série des divers terrains de cette montagne. Il indique les
allures de ceux-ci, ainsi qu'on pourrait les observer dans
une grande tranchée ou coupe faite à travers cette monta-
 gne. L'année suivante, en 1838, M. Leymerie publie six
notes sur la géologie lyonnaise. Dans l'une d'elles, insérée
 dans les comptes-rendus de l'Institut de France, section de
l'Académie des Sciences, notre savant géologue, qui déjà
prépare sa candidature au titre de membre correspondant de
l'Institut, qu'il obtiendra plus tard, étudie et décrit les ter-
rains secondaires inférieurs du Rhône, c'est-à-dire les cal-
 caires qui sont aux environs immédiats de Lyon. C'est en-
 core à la même époque qu'il publia, à Lyon, une brochure
 intitulée : « Notice familière sur le Mont-d'Or lyon-
 nais. »
   Ces deux études, développées, viennent prendre place,
sous le titre de « Mémoire sur la partie inférieure du ter-
rain secondaire du département du Rhône », dans deux
Recueils très-recherchés : l'un, celui des Savants étrangers,
l'autre, les Mémoires de la Société géologique de
France. Dans ce dernier Recueil, cette étude est accompa-
gnée de deux planches : l'une, des coupes des terrains ;
l'autre, de fossiles nouveaux. Dans cette étude, très-détail-
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