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VIEUX AUTOGRAPHES 465 était bien, si nous ne nous trompons pas de faire avant tout une publication de souvenirs lyonnais. Aussi a-t-il pris son bien un peu de tous côtés, dans les différentes provinces de la France comme à l'étranger. Ainsi nous avons lu avec un vif intérêt des lettres de : Chateaubriand et de Casimir Delavigne; de Charles Nodier et des frères Deschamps; de Désaugiers et de Déranger; d'Alexandre Dumas et de Méry ; de Michaud, l'auteur des Croisades, et d'Augustin Thierry; de Lamartine et de Victor Hugo ; de Michelet et d'Edgard Quinet ; de Loménie et de Jacquot dit de Mirecourt; de Scribe et de Ponsard; de Silvio Pellico et de Mazzini; de Frédéric Soulié et de Vien- net; de Beyle et de Mérimée; d'Henry Monnier et de Théodore Barrière; de Jules Janin et de Silvestre de Sacy; de Camille Doucet et de Jules Sandeau ; de Littré et de Henri Taine ; d'Arsène Houssaye et de Jules Claretie ; d'Ed- mond About et de Francisque Sarcey, Arcades ambo; de Roumanille et de Mistral ; de Proudhon et d'Emile de Gi- rardin; de Veuillot et de Mgr Dupanloup; de Pierre Véron et de Léo Lespès ; de Vapereau et de Frederick Lemaître ; de Théodore de Banville, de Laurent-Pichat, d'Henri de Pêne, d'Autran, de Gozlan, de Bourguin, de Berlue de Perussis; — de Guizot et de Thiers; de Dufaure, de Louis Blanc; d'Etienne Arago, — des généraux Augereau, Lafayette, Junot, Bugeaud, Changarnier; de Berryer, de Berville, du Père Lacordaire; de Meyerbeer, de Rossini, de Berlioz, de Gounod De la marquise de Pompadour, la comtesse de Genîis, Georges Sand, comtesse Dasch, Daniel Stern, MIIes George, Rachel, Arnould Plessis et de beaucoup d'autres. A côté de ces noms illustres, mais étrangers à la pro- vince, nous retrouvons, chemin faisant, des noms lyonnais que nous sommes heureux de signaler, ce sont ceux de : 3°