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SUR L'INDUSTRIE LYONNAISE. 125
Mais nous connaissons trop bien le zèle et les lumières
des administrateurs aux mains desquels sont remises les
*
destinées de notre ville pour ne pas nous reposer en leur
sollicitude dont chaque jour nous apporte une preuve nou-
velle. En dédiant un palais au commerce, ils nous ont dit
assez que notre industrie est la première et, la plus sérieuse
de leurs préoccupations.
Espérons donc que nos vœux seront entendus et que
dans un jour prochain, réunissant dans son sein tous les
éléments de progrès nécessaires au développement de son
génie industriel, Lyon n'aura plus rien à redouter des riva-
lités étrangères.
SAINT-JEAN.