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2, Jttiiw te ©. I. C'était un soir d'été : c'est l'heure où les génies S'ébattent dans le ciel, sous le soleil couchant, Où le monde s'emplit de longues harmonies Comme un immense luth vibré par un géant ; Où l'on est tout amour, où la brise tiédie Endort sous ses baisers les fleurs de la prairie Avec un doux accord : Où la terre gémit des soupirs balsamiques, 21