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 Chirurgien Major nommé KÔNIG. —. Elle avait eu de son premier mariage cinq
enfants, tous vivants en 1782, savoir 3 fils et 2 filles. —. Le fils aine, déjà officier dans
un Régiment Pralben, le second étudiant à l'Académie et le 3 me dans une pension. —.
La fille ainée mariée à N. KRISPIÉN, grand Baillif de Kersfeld en Prusse, et la 2deà un
autre Baillif prussien. On ignore si elle a eu des enfants de son second mariage avec le
Chirurgien KÔNIG. Quant à la femme du Capitaine J.ISAAC DE TOURNES, veuve, pour
la 2de fois, du lieutenant Colonel DE MANGET, elle vivait encore en 1782 dans un âge
fort avancé et une fortune très médiocre. (Mémoire reçu de Varsovie en 1782 par la
voie de Made la Baronne Le Fort).


                 N O T E DE M. LE FORT, SECRET* D'ÉTAT

     Il existe dans les papiers de la famille Buisson une notice assez étendue
sur Jean I et Jean II De Tournes, avec le Catalogue de leurs ouvrages impri-
més à Lyon, s'élevant à 283. — Cette notice a été lue par M. Adrien Naville
à la Société d'Histoire les 24 avril 1851 et 29 janvier 1852. — Mentionnée
au Bulletin du Vole VIII, p*5 74 et 440.
      L'original de cette notice, rédigée par M. Samuel De Tournes, m'a été
donné le 21 novembre 1861 par Madame Butini.
      Une autre notice s u r la famille De Tournes, d'après celle-ci et des
renseignements sous le rapport technique et historique — par Const.1 Revil-
liod, a été lue à la Société d'Histoire les 30 avril et 14 mai 1857 (Bulletin,
vol. XI, p. 194) 2 .


            NOTICE SUR JEAN DE TOURNES, I e r DE N O M 3
                   PAR SAMUEL DE TOURNES (au crayon)

     Jean De Tournes naquit à Lyon en 1504, il reçut de son père une
éducation aussi soignée que la médiocrité de sa fortune lui permettait de
donner, mais il la perfectionna ensuite lui-même par son goût pour les
belles lettres, aidé d'une grande facilité pour apprendre les langues étran-
gères.
     1. En surcharge, Gust.
     3. Cf. C. REVILLIOD, notes sur la Famille des De Tournes (Ballet, bibliographique, 1856, p. 917 et
suiv.).
     3. M. Alfred Cartier a fait quelques additions et corrections à ces notices : elles sont placées en man-
chettes ; celles que j'y ai faites moi-même sont en bas de pages.