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320 LETTRE D'UN MEMBRE DE L'INSTITUT. et monotones. On se borne à entendre une messe basse selon le vœu de l'abbé de S..., c'est déplorable ! Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'assurance de ma considé- ration très-distinguée. *** Membre à c l'Institut. L'auteur de cette lettre semble ignorer qu'on a trouvé un moyen d'at- tirer la foule en se passant de la beauté des offices, c'est d'introduire dans le lieu saint des décorations, des chanteurs et de la musique de théâtre, ce qui est tout à fait dans les habitudes romaines ; des fleurs de papier, des instruments de concert, de délicieux soprani, du papier doré, du gaz et de la verroterie, ce qui est tout à fait dans le goût du jour. A . VwGTRINIER.