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 64                      RÉFUTATION.
    M. CHRISTOPHE MARTIN m'écrivait, en février
  i853, pour me remercier de l'envoi d'un exem-
• plaire de mon cours et me disait :
   « Notre École était appelée à devoir beaucoup à votre
 « famille ; votre frère y a laissé d'honorables souvenirs, et
 « vous, Monsieur , par vos lumières et votre dévouement,
 « vous lui imprimez, dans la branche la plus utile de l'en-
 « seignement, un progrès qui la signale à l'admiration de
 « tous.                                                         »
   « Comme administrâtes , exécuteur testamentaire du
 « major-général, recevez mes remercîments et mes félici-
 « tations. »

   Les opinions émises dans cette lettre furent
 confirmées, quelques mois plus tard, dans un
 discours prononcé à la distribution publique
 des prix de l'Ecole la Martinière, par le même
 administrateur, en présence de M. LE SÉNATEUR
 VAÃssE>de M. PELVEY, SECRÉTAIRE-GÉNÉRAL, e> mê-
 me de M. ANTONIN MONMARTIN.
    Voici les passages de ce discours, relatifs à ren-
 seignement du dessin (voir le Courrier de Lyon, du
 20 août i853).
    « La Martinière poursuit chaque année sa
 « marche progressive; la capacité et l'expérience
 a de maîtres éminents ont donné à renseignement
 « des méthodes dont la facile application, en re-
 « culant ses limites, en simplifie aussi les diffi-
 « cultes:' et quelle preuve plus frappante pour-
 « rais-je vous en offrir que ces dessins exposés à
 a nos regards ?