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                           RÉFUTATION.                          63
   A la même époque, M. MOUILLARD, PROVISEUR
DU LYCÉE DE LYON, comprenant de quelle impor-
tance serait, pour les élèves de la section du com-
merce et de Tindustrie, l'adoption de cette mé-
thode , me fit la demande de me charger de ce
cours; je dus répondre que mes travaux profes-
sionnels ne me permettaient pas ce double en-
seignement. La même demande -m'avait déjà été
faite, en i844> par M. Nivière, directeur de la
Saulsaie, et, en i 8 5 i , p a r M. Martin, principal du
Collège de Vienne.
   M. DEZÉ, PRÉFET DU DÉPARTEMENT DE L'AIN, an-
cien professeur aux écoles du gouvernement,
voulant, en i852, étudier cette méthode pour en
 conférer avec le Ministre et organiser un ensei-
gnement analogue à Paris, vint passer deux jours
avec moi à l'Ecole et dans mon cabinet, pour
 s'initier aux méthodes que j'avais créées.
    En i853, M. FRANKLIN, OFFICIER DU GÉNIE SARDE,
chargé, par son gouvernement, de faire un rap-
port sur les méthodes de l'Ecole la Martinière,
me fut adressé par M. TABAREAU, pour faire une
étude consciencieuse et approfondie de celle que
j'avais créée à l'Ecole.
son faible prix la mettra à la portée de tous les élèves de la Mar-
tinière et même des institutions primaires.
   N'ayant plus à faire la dépense de la gravure et des cuivres
des quarante planches, enfin en donnant moins de luxe au texte,
sans nuire cependant à sa bonne exécution, il a été possible de
réduire le prix de l'ouvrage de plus de moitié.