Revue du Lyonnais » série 2 - n°27 ( 1863 ) » pp.430

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    les grâces du langage ; son frère, nature d'élite, âme poétique et
    artiste ; l'helléniste M. Faivre et l'agronome M. Greppo, aux
    boutades originales et piquantes : M. de Montherot, dont la
    verve badine et caustique sait à elle seule animer un cercle et
    égayer une académie, et quelques autres que je dots omettre à
    regret, parce que je ne dois pas confisquer de précieuses pages
    de la Revue au profit de souvenirs personnels qui n'intéressent
    que médiocrement la génération actuelle. J'ai voulu seulement
    rendre un hommage, bien insuffisant mais sincère, à M. de Saint-
    Didier et à ses amis, débris d'une époque bien différente de la
• * nôtre et qui nous apparaît maintenant comme un inonde anté-
    diluvien.

      Agréez l'assurance de mon profond attachement.


                                     F . MOREL DE VOLEINE.




          Cogny, le 12 octobre.