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                           JOUFFROY.                        19

qu'il possédait comme le français, fut imprimé dans les an- -
 nales de l'académie ; le vénérable et docle cardinal Micafa,
général des capucins, répliqua éloquemment au récipien-
daire.
   Malgré la mulliplicité de ses travaux dans la presse quo-
tidienne et dans les revues, Jouffroy trouvait le temps, grâce
à la rapidité de ses conceptions et à la facilité de sa rédaction,
de s'occuper de littérature, de poésie, d'histoire ; il publia
successivement : en 1818, Le Vampire, mélodrame, dont
Nodier flt le prologue, Piccini la musique, Carmouche la
mise en scène ; — Maurice et Gusman, mœurs portugaises,
comédie en un acte, 1819; — Les Bacchanales de Thèbes,
tragédie lyrique en un acte, 1819;—Berlhe, fille d'Alpadus,
roi de Hongrie, comédie lyrique en trois actes, 1820 ; —
Les fastes de l'anarchie, précis chronologique des événe-
ments mémorables de la Révolution française, 2 vol. in-8,
1820, ouvrage qui eut six éditions;—Don Qucrido, comédie
en langue italienne et en vers, deux actes, 1825 ; — Pale-
linos, mœurs espagnoles, comédie en un acte, 1825; —
Le Revenant, mœurs duXFI" siècle, prologue, 1826 ; — Les
suites du crime, mœurs italiennes, un acte, 1829;— Czerni-
George, drame en vers, deux actes, 1829; — Le Gendre de
Faust, comédie lyrique, en vers, deux actes, 1829 ; — Les
Burkers, mœurs anglaises, drame môle de chants, un acte,
1831 ;—Le Choléra morbus, épisode de la guerre de Po-
logne, Londres, 1832; — La Saisie, ou le loyer échu, co-
médie mêlée de chants, un acte, 1833 ; — Charles Xà Jloly-
Rood, nouvelle, 1833 ; —Mes adieux à l'Angleterre, satire
en vers, 1833 ; — La Conjuration d'ordres, en 16C5, nou-
velle, 1834; —Jeune et vieille France, nouvelle, 1835;
— Le château de Lucg, nouvelle, 1834 ; — Le Festin des
morts, nouvelle ; — Introduction à Vhistoire de France, ou
description physique, politique et monumentale de la Gaule,