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ÉPITAPHE DU C(EUR DE FRANÇOIS, DAUPHIN DE VIENNOIS. DEO OPTIMO MAXIMO SACRUM. CORPUS ABEST , COR TANTCM HIC EST PARS MAXIMA NOSTRI PRINCIPIS, JN COELO CORPORIS CMBRA MANET. DOMINO FRANCISCO, DOMINI FRANCISCI PRIMI G A L L I A R U M REGIS AUGUSTISSIMI, PRIMOGENITO, DELPH1NO VlENNENSI, BR1TANNIAE D U C I , VlENNENSES MOESTISSÃMI POSCERE, Y0 1DCS JCLII MDXXXXVHI. MEMORIAE ET AETERNITATI. « Le corps est ailleurs, le cÅ“ur seulement est ici la meil- leure partie de notre prince, l'ombre du corps habite au ciel. » « Au seigneur François, fils aîné du très-auguste Fran- çois 1 e r roi des Gaules , dauphin de Viennois, duc de Bre- tagne, les Viennois en deuil ont érigé ce monument, le lt juillet 1548. » La première partie de celle inscription est l'Å“uvre de quelque bel esprit, imbu des rêveries métaphysiques de l'é- cole d'Àristole et du nombre de ceux que Rabelais logeait alors dans le royaume de Quinte-Essence ou d'Entéléchie. La dernière pensée n'est explicable au point de vue d'aucune