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24O CHRONIQUE D'AOUT I9OO et mourut peu après. On constata alors qu'il y avait rayé ou supprimé le legs qu'il faisait à sa vieille concierge (73 ans) de la place Pigalle. La cause : pour mauvaise parole ! dit-on. La leçon était plutôt dure. Que nous laissera Vollon, si toutefois il n'a pas oublié, dans sa gloire, les musées de sa ville natale ? Peut-être nous gardera-t-il rancune d'avoir mis la pioche des démolisseurs dans l'immeuble où il eût désiré voir une plaque de mar- bre perpétuer sa mémoire. En effet, la Société immobilière de Saint-Bonaventure vient de commencer la démolition des maisons situées derrière l'hôtel de Bellecour ; la rue de la Charité trouvera peu à peu son alignement normal. • J'arrêterai ici ma chronique. Et maintenant... Alpinistes à la montagne ! Vous trou- verez au pied du mont Viso, le « refuge des Lyonnais » reconstruit par les soins de notre section du Touring-Club. Chasseurs, fuyez aux champs! avec votre ami si cher, votre chien. Ah ! les bonnes histoires', les fameuses tuées, quand on a les pieds sous la table et l'estomac ÊÔ- JsqHne humeur ! /^ , .- %..,-^ Pierre ViRÈsi- Le Gérant : P. BERTHET. Imp. Mougin-Rusand, Waltener & Cie, sucr% rue Stella, 3, Lyon.