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                TROIS LETTRES
    A PROPOS DE LA BIBLIOTHÈQUE RANDIN



   La Revue a donné, en juillet 1876, un complé
ment aux deux articles consacrés, en 1875, par
M. Niepce, à la bibliothèque si curieuse de M. Ran-
din.
   Ce complément, dû à la plume de M. Rivoire, a
soulevé un orage qui, pour avoir couvé longtemps,
n'en est pas moins violent. Trois lettres nous sont
adressées à ce sujet et nous les publions afin de
rester fidèle à la devise : Amicus X, magis arnica
veritas.
                       Lyon, le 6 novembre 187G.

  Monsieur le Directeur de la Revue du Lyonnais.
   En publiant mes Notices sur les « Bibliothèques an-
ciennes et'modernes de Lyon » j'ai inséré dans celles qui
concerne la Bibliothèque de M. Randin père, une lettre
que M. Rivoire avait cru devoir m'écrire au sujet de cette
belle collection qu'il avait vue.
   J'ai accueilli cette communication avec empressement,
comme j'ai toujours reçu tous les renseignements qu'on a
bien voulu me faire parvenir pour mes divers travaux.
Je n'ai pas besoin d'ajouter que la lettre de M. Rivoire
me venant d'un ancien libraire et d'un connaisseur, j'ai
dû accepter toutes ses assertions avec une entière bonne
foi et uns1 confiance absolue.